Les traces de l’histoire qui s’est en partie écrite ici
Un paysage qui bouge constamment et qui a oublié la notion de l’intime
Le vivant, les monuments, les lieux sont confrontés à l’immensité ou vice-versa
Même une simple partie de boules a besoin de plusieurs arrières-plans immenses pour se dérouler en Normandie
Paul Éluard écrit en 1921 « les vents et les oiseaux s’unissent – le ciel change » ; c’est à ce moment-là que la lumière dépose ses traces et qu’il faut regarder et accessoirement photographier.
63 ans, architecte-urbaniste. Depuis longtemps, la photographie est comme médium obsessionnel : « J’avance avec l’éternelle idée que la lumière ne jaillit que si l’ombre est déjà là ; la raison du noir pour le blanc, le rejet et le contre-rejet. Mes photographies sont souvent en noir pour blanc… »
Paul Cassar
